Le rendez-vous au sommet : Une exhortation vers la vie en plénitude en Jésus-Christ

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“Ils disaient d’une voix forte: L’Agneau qui a été immolé est digne de recevoir la puissance, la richesse, la sagesse, la force, l’honneur, la gloire et la louange.” (Apocalypse 5:12)

“Tel il est, tels nous sommes aussi dans ce monde.” (1 Jean 4:17)

© Me Henry Fayol Mulumba

Introduction : Quand Dieu appelle au sommet

Tout homme ou toute femme qui entre en relation avec Jésus-Christ entre en même temps dans une dimension de restauration de sa dignité, de sa mission, et de sa place dans le plan de Dieu. Le sommet, dans la perspective biblique, n’est pas un luxe ou un privilège réservé à quelques élus. C’est une invitation ouverte, une déclaration prophétique faite par le cœur de Dieu à ses enfants : “Viens plus haut, je veux te montrer ce que j’ai préparé pour toi.”

Le “rendez-vous au sommet” n’est pas un slogan spirituel. C’est une révélation. Celle que nous trouvons dans Apocalypse 5:12, où les sept dimensions de la victoire de l’Agneau sont proclamées dans le ciel. Mais pourquoi ce verset est-il clé ? Parce que ce que le ciel déclare sur Christ, la Parole affirme que c’est aussi valable pour nous : “Tel il est, tels nous sommes aussi dans ce monde.”

Dans ce texte, je vous invite à une exhortation, à une marche résolue vers les sommets que Dieu a préparés pour chacun de ses enfants, pour vous et pour moi. Il ne s’agit pas d’une ascension mondaine, mais d’une montée en maturité, en impact, en autorité spirituelle et en accomplissement de votre appel. Nous irons pas à pas, décodant ce que signifie chacune des dimensions proclamées en Apocalypse 5:12, et comment les vivre concrètement aujourd’hui.

1. La puissance : marcher dans l’autorité divine

La première dimension proclamée dans le ciel est celle de la puissance. Et pour cause : tout commence par là. Car celui qui n’a pas reçu la puissance d’en haut risque de vivre une vie chrétienne théorique, sans fruit, sans impact, sans transformation.

La puissance dont il est question ici n’est pas une force spectaculaire destinée à impressionner les foules. C’est une capacité divine, donnée par le Saint-Esprit, pour agir selon la volonté de Dieu. Elle permet de résister à la tentation, de briser les chaînes du péché, de parler avec assurance, de prier avec foi, et de servir avec onction.

Actes 1:8 le dit clairement : « Vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins… » Voilà le but : témoigner, incarner, manifester la vie de Christ dans un monde qui en a tant besoin. 

Prenons un exemple : un chrétien dans son lieu de travail peut devenir un canal d’influence simplement parce qu’il opère avec la puissance de Dieu – il parle avec sagesse, résout les conflits avec paix, et demeure stable là où d’autres s’écroulent. Ce n’est pas du théâtre, c’est une vie connectée à la source.

Mais cette puissance, bien-aimé, ne vient pas de la chair. Elle ne s’achète pas. Elle ne s’imite pas. Elle se reçoit. Elle se cultive dans la prière, dans l’intimité avec Dieu, dans l’obéissance quotidienne. Elle se manifeste dans les petits choix fidèles avant d’éclater dans les grandes missions visibles.

La puissance, c’est dire non quand il faut dire non. C’est pardonner quand la chair veut se venger. C’est proclamer la vérité même quand elle dérange. C’est aimer ceux qui ne le méritent pas. Voilà le sommet que Dieu nous propose.

Et toi, mon frère, ma sœur, n’aie pas peur de demander à Dieu cette puissance. Tu en as besoin. Ta famille en a besoin. Ton église en a besoin. Ton pays en a besoin. Car là où les enfants de Dieu se lèvent dans la puissance du Saint-Esprit, les ténèbres reculent, les âmes sont restaurées, et la lumière du Royaume brille.

Alors, lève-toi. Active cette dimension. C’est ton héritage en Jésus-Christ. Car l’Agneau a été immolé, Il est digne de recevoir la puissance, et toi, en Lui, tu es appelé à marcher dans cette même autorité divine.

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  1. La richesse : vivre l’abondance selon Dieu

Lorsque l’Écriture déclare que l’Agneau est digne de recevoir la richesse, elle élève la richesse au rang de don céleste, et non de simple ambition terrestre. Trop souvent, la richesse est mal comprise dans les milieux chrétiens : soit idolâtrée, soit rejetée. Pourtant, dans le plan de Dieu, elle est un outil sacré, une provision pour l’accomplissement de Sa volonté.

La richesse, selon le ciel, n’est pas un but. C’est un moyen. Elle ne doit pas être un trône sur lequel on s’assied avec orgueil, mais un pont que l’on construit pour que d’autres accèdent à la vie, à l’éducation, à la dignité, à la transformation.

Prenons un exemple concret : imagine un avocat chrétien prospère à Kinshasa. Il ne travaille pas seulement pour accumuler des biens, mais il utilise ses ressources pour offrir des bourses, créer des centres de formation, soutenir les veuves, bâtir un cabinet qui respecte Dieu et bénit les familles. Voilà la richesse sanctifiée.

La véritable richesse n’est pas dans ce que l’on possède, mais dans ce que l’on partage. Dieu te bénit pour que tu sois une bénédiction. Et pour cela, Il te donne des idées, des compétences, des réseaux, et aussi des finances. Mais attention : Il cherche un cœur fidèle, non un cœur avide.

C’est pourquoi la mentalité doit précéder la prospérité. Un pauvre dans sa tête deviendra un esclave de ses gains. Mais celui qui comprend que la richesse est un mandat devient un gestionnaire inspiré. Il épargne avec sagesse, investit avec discernement, donne avec joie.

La richesse vue d’en haut, c’est aussi la richesse du cœur. Être généreux, serein, libre. Ne pas courir après l’argent, mais marcher avec Dieu qui pourvoit. Ne pas jalouser, mais bénir. Ne pas thésauriser, mais semer. Et toujours, toujours, rester humble.

Bien-aimé, Dieu ne veut pas que tu survives. Il veut que tu vives. Il veut que tu sois une source. Il veut que par ta richesse, des familles mangent, des enfants étudient, des rêves se réalisent. C’est cela, le sommet dans la richesse.

Et si tu marches dans l’intégrité, dans l’obéissance, dans l’amour… alors tu verras la main de Dieu ouvrir des portes inattendues. Car l’Agneau est digne de recevoir la richesse. Et toi, en Lui, tu es appelé à en manifester la gloire, ici-bas, avec responsabilité.

Un homme d’âge mûr lisant la Bible à l’aube sur une terrasse, entouré de livres et prenant des notes. Regard profond, ambiance calme, lever de soleil. À l’arrière-plan : un arbre symbolisant la croissance.
  1. La sagesse : construire sa vie sur des fondations solides

La sagesse est un trésor silencieux mais inestimable. Là où la connaissance remplit les livres, la sagesse bâtit des vies. Elle n’est pas bruyante, elle n’a pas besoin d’applaudissements, mais elle est indispensable à toute personne qui veut monter sans se perdre.

Quand Salomon eut carte blanche devant Dieu, il demanda la sagesse. Ce choix changea sa destinée. Et toi, qu’est-ce que tu demandes à Dieu quand tu pries ? Si tu demandes la sagesse, tu demandes ce qui maintient le sommet accessible, habitable et durable.

La sagesse, c’est savoir quand parler et quand se taire. C’est discerner la saison dans laquelle tu te trouves. C’est choisir les batailles à mener et celles à éviter. C’est refuser les raccourcis. C’est préférer le bon à l’immédiat. C’est bâtir sa vie sur le roc et non sur le sable.

Prenons un exemple : un jeune entrepreneur chrétien reçoit une opportunité d’affaires juteuse, mais entachée de malhonnêteté. La sagesse lui dira de refuser aujourd’hui ce qui pourrait le ruiner demain. Même si c’est difficile. Même si les autres acceptent. Il choisit Dieu avant le gain. Voilà la vraie grandeur.

Et la bonne nouvelle, c’est que Dieu donne la sagesse à qui la demande. Il ne fait pas de favoritisme. Jacques 1:5 dit : « Si quelqu’un manque de sagesse, qu’il la demande à Dieu, qui donne à tous généreusement… » Alors pourquoi vivre dans la confusion, dans les erreurs répétées, dans les échecs évitables, alors que la sagesse est accessible ?

La sagesse, c’est aussi savoir s’entourer. Ne pas marcher seul. Écouter les conseils. Lire, méditer, apprendre. Reconnaître ses limites. Être enseignable. C’est refuser l’orgueil de croire qu’on sait tout, et embrasser l’humilité de grandir.

Bien-aimé, la sagesse ne te rendra peut-être pas célèbre, mais elle te gardera debout quand les autres tomberont. Elle te donnera des enfants stables, une maison solide, une réputation fiable. Elle est plus précieuse que l’or.

Et au sommet, ce ne sont pas les plus rapides qui tiennent… ce sont les plus sages. Cherche donc la sagesse. Aime-la. Prends-la pour compagne de voyage. Car si l’Agneau est digne de la recevoir, toi aussi, en Lui, tu es appelé à la manifester dans chaque domaine de ta vie.

Pour approfondir votre marche vers le sommet spirituel, vous pouvez aussi suivre des ressources d’édification sur des sites fiables comme TopChrétien.

Femme congolaise debout au sommet d’une colline près de Kinshasa, éclairée par la lumière céleste. Elle symbolise le rendez-vous au sommet et la plénitude en Christ

4. La force : tenir ferme dans l’épreuve

La force mentionnée dans Apocalypse 5:12 ne se limite pas à la force physique. Il s’agit d’une force intérieure, spirituelle, morale – la capacité de se tenir debout quand tout pousse à fléchir. C’est cette force que Jésus a manifestée lorsqu’il a porté la croix, supporté la trahison, l’abandon, l’humiliation, et la mort… sans renoncer à sa mission.

Et cette même force, bien-aimé, t’est aussi accessible. Paul disait : « Je puis tout par celui qui me fortifie » (Philippiens 4:13). Cela veut dire que peu importe ce que la vie t’impose – maladie, échec, injustice, rejet, solitude – tu n’es pas obligé de t’effondrer. Tu peux rester debout. Non pas par orgueil, mais parce que Dieu te soutient.

Le sommet ne se gagne pas en un jour, ni sans combat. Il y aura des tempêtes. Il y aura des fatigues. Il y aura des gens qui douteront de toi, qui te trahiront. Tu perdras peut-être des choses en route. Mais si tu reçois la force de Dieu, tu persévéreras. Tu finiras ta course.

Cette force-là, ce n’est pas celle du caractère trempé seulement. C’est celle qu’on reçoit dans la présence de Dieu. Elle vient quand tu pries, quand tu loues, quand tu médites la Parole, quand tu choisis de pardonner, de rester fidèle, même dans l’ombre.

Et souvent, la force divine se manifeste dans nos faiblesses. Oui, Dieu aime se glorifier à travers ceux qu’on n’attend pas. N’a-t-il pas dit à Paul : « Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse » ? (2 Corinthiens 12:9)

Alors, si tu te sens faible, découragé, au bout du rouleau… réjouis-toi. C’est précisément le bon moment pour recevoir la force du Ciel. Car ce n’est pas par ta propre énergie que tu monteras au sommet, mais par la force que Dieu te donne chaque jour.

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5. L’honneur : retrouver sa valeur devant Dieu et devant les hommes

Quand l’Apocalypse nous dit que l’Agneau est digne de recevoir l’honneur, cela parle de la place que Dieu lui donne dans le ciel comme sur la terre. L’honneur, ce n’est pas seulement une ovation, c’est une reconnaissance profonde de la valeur, du rôle, et de l’identité.

Et toi, enfant de Dieu, tu es aussi appelé à marcher dans l’honneur.

L’une des attaques les plus sournoises du diable aujourd’hui, c’est la dévalorisation. Il veut te convaincre que tu ne vaux rien, que ton passé t’a disqualifié, que tes erreurs ont tout ruiné, ou que tu ne mérites pas mieux. Mais Dieu dit le contraire. Il dit : « Tu as du prix à mes yeux, tu es honoré et je t’aime. » (Ésaïe 43:4)

L’honneur commence par une réconciliation avec ton identité. Ce n’est pas l’opinion des autres qui fait ta valeur, c’est celle de ton Créateur. Lorsque tu comprends cela, tu changes ta manière de marcher, de parler, de servir. Tu deviens conscient que tu représentes le Roi des rois, que tu portes un nom céleste, que tu es ambassadeur du Royaume.

Mais l’honneur ne s’arrête pas là. Il se manifeste aussi dans tes relations humaines. Un enfant de Dieu marche avec dignité : il respecte les autres, il tient ses engagements, il est fiable. Il ne triche pas pour réussir, il ne ment pas pour se protéger. Il vit avec intégrité, parce qu’il sait qu’il est porteur d’un nom : celui de Jésus.

Dans le contexte professionnel, par exemple, l’honneur peut se voir dans la manière dont tu exerces ton métier : sans fraude, sans hypocrisie, sans compromis. Tu peux être avocat, médecin, enseignant, commerçant… mais si tu mets l’honneur au cœur de ce que tu fais, tu te démarqueras naturellement.

Et laisse-moi te dire : Dieu honore ceux qui l’honorent (1 Samuel 2:30). Si tu choisis de rester fidèle dans les petites choses, Il t’élèvera en son temps. Ce n’est pas l’homme qui t’élèvera, c’est Dieu. Ce n’est pas la flatterie qui ouvre les portes, c’est l’intégrité.

Le sommet, ici, c’est retrouver la noblesse que Dieu t’a donnée. Tu n’es pas n’importe qui. Tu es fils, tu es fille du Très-Haut. Laisse le monde te mépriser, ce n’est pas leur regard qui fait ta destinée. Ce qui compte, c’est ce que le ciel dit de toi.

Alors relève la tête. Vis avec honneur. Aime avec honneur. Travaille avec honneur. Même dans le secret, même quand personne ne voit. Car l’Agneau qui a été immolé a reçu l’honneur, et toi, en Lui, tu es appelé à refléter cette gloire.

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6. La gloire : refléter la lumière de Christ

La gloire n’est pas un simple éclat visible ou un prestige humain. Dans la perspective biblique, elle désigne la manifestation concrète de la présence, du caractère et de la beauté de Dieu à travers une vie. Lorsque l’Apocalypse déclare que l’Agneau est digne de recevoir la gloire, cela veut dire que toute la création reconnaît en Lui la plénitude de Dieu. Et toi, bien-aimé, tu es appelé à refléter cette gloire.

2 Corinthiens 3:18 nous dit : « Nous tous qui, le visage découvert, contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire. » Ce passage bouleverse notre vision : la gloire n’est pas réservée au ciel. Elle commence ici, maintenant, dans ton quotidien.

Refléter la gloire de Dieu, c’est vivre de manière à ce que les gens voient Christ en toi. C’est manifester l’amour, la patience, la pureté, la vérité, la lumière dans les ténèbres. Ce n’est pas crier fort que tu es chrétien, mais que ton caractère parle pour toi.

Imagine un médecin chrétien qui soigne avec compassion, un entrepreneur qui traite ses employés avec justice, un artiste qui élève les cœurs vers le bien… voilà la gloire de Dieu en action. Ce n’est pas réservé aux prophètes ou aux prédicateurs. C’est pour toi, là où Dieu t’a placé.

Mais attention : la gloire ne se vole pas, elle se reçoit et se rend à Dieu. Si tu veux marcher dans la gloire, tu dois rester dans l’humilité. Car Dieu ne partage pas sa gloire avec un cœur orgueilleux. Il cherche des vases disponibles, obéissants, effacés, pour y déposer sa splendeur.

Alors oui, Dieu veut se révéler à travers toi. Ta vie peut devenir un vitrail par lequel la lumière de Christ éclaire le monde. Ton sourire, ta résilience, ta fidélité, ton pardon, ton excellence… tout cela parle de Lui. Et c’est cela, vivre au sommet : porter la gloire de Dieu dans un monde qui en a soif.

Un groupe d’hommes et de femmes africains en tenue simple, les bras levés vers le ciel, chantant avec ferveur dans un espace ouvert au lever du soleil. L’ambiance est joyeuse, spirituelle et profonde. Au loin, une lumière céleste éclaire la scène. L’arrière-plan évoque une colline ou un terrain naturel. L’image exprime la liberté, la gratitude et l’adoration

7. La louange : une vie qui célèbre Dieu

La louange n’est pas seulement un chant du dimanche matin. C’est un style de vie. Apocalypse 5:12 se termine par cette dimension : la louange. Pourquoi ? Parce qu’en toute chose, Dieu cherche des adorateurs, des cœurs reconnaissants, des voix qui proclament sa grandeur malgré les circonstances.

Un cœur qui loue est un cœur qui vit au sommet. Il ne se laisse pas abattre par les vents contraires. Il choisit d’exalter Dieu même dans la vallée. La louange, c’est dire à Dieu : « Tu es plus grand que mes problèmes, plus fidèle que mes émotions, plus digne que mes ambitions. »

David était un homme selon le cœur de Dieu, non parce qu’il était parfait, mais parce qu’il savait louer. Il louait dans la victoire, mais aussi dans la fuite, dans la trahison, dans la solitude. Sa vie entière était une offrande de louange. Et Dieu l’a élevé.

Plus tu élèves Dieu, plus Il t’élève. Plus tu le célèbres, plus Il se manifeste. La louange débloque des prisons, comme dans le cas de Paul et Silas (Actes 16:25-26). Elle chasse la peur. Elle invite la présence du Saint-Esprit. Elle transforme l’atmosphère.

Alors, bien-aimé, choisis de louer. Pas seulement avec des mots, mais avec ta vie. Que ton travail soit une louange. Que ton couple loue Dieu. Que ton ministère, ton commerce, ton service à l’église, tout soit un chant d’adoration. Tu es né pour célébrer Celui qui t’a racheté.

Conclusion : L’Agneau est digne, et toi tu es appelé

Voici, bien-aimé, le rendez-vous au sommet : marcher dans la puissance, vivre la richesse sanctifiée, rechercher la sagesse, recevoir la force, restaurer l’honneur, porter la gloire, et élever Dieu par la louange. C’est un chemin, une marche, une transformation.

Le monde veut t’écraser, te réduire à tes fautes, à tes limites. Mais Dieu t’invite à voir plus haut, à croire plus grand, à vivre selon ta vraie identité. Ce sommet n’est pas inaccessible. Il commence dans ton cœur, par une décision : celle de croire ce que Dieu dit de toi.

Alors aujourd’hui, dis-lui oui. Reçois cette parole comme une promesse. Lève-toi. Reprends ta marche. L’Agneau a été immolé, et Il est digne. Et toi, en Lui, tu es appelé à vivre une vie en plénitude, une vie au sommet.

Amen.